jeudi, mars 09, 2006

SIngapour mon amour (recit en 3 parties, vol1)

Bonjour bonjour, j espère que tt le monde va bien. Avant tout, une petite pensée pour le menisque droit de la pajotte qui s’est fourbement fait la malle au cours d’une partie endiablée de futchbol. Remets toi bien à coups de pastagas devant la télé comme à ton habitude.
Reprenons le cours de l’histoire là où nous l’avons laissé. Les 3 jours passés dans les contrées hostiles et effrayantes de Singapour. Pour vous situer le chaos : imaginez un Etat avec des larges avenues, un trottoir sans trous dedans, des feux rouges (qui marchent), un métro avec AC (qui marche), des lignes de bus clairs (qui roulent), des terrasses avec des cappucinos glacés (qui sont glacés avec des glacons avec de l’eau potable dedans), des malls avec tt l’éléctronique à moitié prix, des restos de fruits de mer (propres), des toilettes climatisées (propres aussi), et personne qui ne vous suit dans la rue pour vous crier : hello mister.
Bienvenue à Singapour. Petit cours de géopolitique : cité Etat indépendante, Singapour est un système autoritaire au service du grand capital. EN gros, la liberté de presse est très limitée (les journaux appartiennent au gouvernement), l’opposition est plutôt molle du bout, voire inexistante, bref tout le monde est d’accord pour ne se soucier que du développement économique de l’île.
A part ça, c’est assez agréable, les gens sont gentils (les commercants un peu cons) et on a pu s acheter des trucs : un grand angle et des cartes memoires pr le tiers du prix francais, des maillots de foot a 9 euros, et je n ai pas craqué pour le ipod (ca sera pour la prochaine visite a part si on va a Hong Kong entre temps).