Joyeuse Saint Gapour (désolé) vol2
Donc arrivée à l’aréoport de l’an 2000 le vendredi soir a minuit et première rencontre avec Goody, un thailandais d’une quarantaine d’années, qui a vécu à Londres et qui nous a trimbalé dans tout Singapour pour trouver l’hotel moins cher. Un mec super sympa, assez rare de rencontrer ce genre de type, qui vous fait la visite de la ville après 10mn de bus ensemble. Enfin excellent. Le lendemain, réveil pénible, petit dej et rendez vous pris avec Mister Ahmad, trafiquant de visas de profession. Petite explication à l’occidental moyen : changer de visa ou entreprendre toute démarche administrative avec l’Indonésie équivaut à s’arracher les ongles avec une pince. Donc les gens censés ont recours à un broker qui en échange de quelques roupies (ou des $ singapouriens en l’occurrence) s’occupent de tout en soudoyant allègrement le fonctionnaire de l’ambassade chargé des visas. En fait, ils partagent le butin, je pense. Donc, le mec a récupéré tous les docs, les sous et s’en est allé, pour nous rendre la passeport avec visa le lundi après midi. Maria est en règle, elle ne risque plus l’expulsion manu militari chez les toros et autres mangeurs de paellas.
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