mercredi, juin 07, 2006

Toute la beauté du Monde

Ce titre référence du cinéma français, je me réfère au film de Marc Esposito tourné à Bali conviendrait pas mal au dernier ouikende passé chez nos amis balinais. Malgré le fait que ce flim est une sombre merde (dixit 100% des gens qui l'ont vu y compris ceux qui ont aimé les chevaliers du ciel...c'est pour vous dire), la petite île aux 10000 temples nous accueille toujours vétue de sa boooooté légendaire. Bref, bref, bref, concis résumé du week end: départ avec joël (aka la moufle) et sa mie du perreux (la belle julie) après 2h de macet total (comprenez gros embouteillage qui fait péter les plombs). Vol sans encombre à part les traces d'ongles incrustés dans mon musclé avant bras gauche, signes d'un voyage passé assis à côté de mme Julie. J'ai enfin trouvé qq'un qui flippe plus que moi en cercueil volant. Arrivée à Bali, il fait bon, petite musique balinaise (à base de ding ding), pas de bruit, pas de pollution, détente. PEtit voyage en taxi: discussion sur les bienfaits de l'accélération de la bebek honda par rapport à la Yamaha avec le chauffeur. Discussion sur les freins foireux des yamaha mio automatic et arrivée à la villa louée par notre moufle (énorme truc avec énorme piscine) et rencontre avec les amis de mes compagnons de week-end: Caro, sandra, marion, caro et françois. Discussion, rencontre entre eux 3 ans après leurs dernières expériences. Tout se passe bien. Malheureusement et comme souvent, Alex est repris par sa travoltite (dérivé de la maladie de crazfel-john travolta) qui s'exprime par une envie irrepressible et incontrolable de bouger son corps sur des sons électroniques (et forts evidemment).
Départ donc vers 1h avec votre serviteur (les filles restant à la maison pour papoter) vers le paparazzi, puis le 66. On discute pas mal, on danse pas mal, on monte sur les podiums et retour à 4h et des patates. Dur réveil pour nos plongeurs (qui ont vu des rémantas danslo), mais réveil sympatoche pour notre pippal nationo: petite plageasse, déjeuner-lecture , re-plageasse puis retour a la villa pour un petit peu de boulot bord de la piscine pasque qd meme, on vit dans un monde où l'initiative personnelle vous ouvre les portes de la réussite et de la gloire. 16h: retour de nos plongeurs: visionnage des rémantadanslo, discussion, apéral et petite soirée trankillou au resto (italien définitivement italien).
Dimanche rythmée par une grosse journée plage, discussion, body surf in ze vagues, très mais alors tès sympatoche. Villa, appel d'Air Asia, le vol de votre serviteur partira finallement à 2h du mat'. Je prévois d'arriver a boulot lundi matin avec des yeux de koala défoncé au crack. L'idée d'invoquer la technique du malade imaginaire me traverse l'esprit. NON. Pro-fe-ssio-na-lisme. Je reste donc avec nos amis-copains d'Alex et Julie pour aller dîner à la trattoria (italien définitivement italien) et j'irais à l'aéroport après. Excellente soirée: marrante et intéressante par la même occasion (ce qui est rare dans notre monde de brutes). Vraiment content d'avoir rencontré ces gens (petit coucou à ttes les 3 si vous lisez ces lignes). Tiens vu que c'est moi le chef de ce que j'écris, un message perso: j'ai vraiment passé un excellent ouikende avec vous, même si au départ je venais un peu dans la peau du koala apeuré (après j'arrête avec les koalas, je passerais au skons). Très content de vous avoir rencontré, j'espère sincèrement qu'on aura l'occaze de se revoir un jour (ptet pas à Bali, mais Charenton, Barbès ou Levallois pourraient le faire). Donc merci pour ce ouikende: vous êtes sympas (et Dieu sait que je suis intolérant, borné et froid comme un Soléro). Voilà, c'est fait. Bon après retour classique à l'aréoport, décollage à 2.30 arrivée à 3.15 (y a une 1h de décalage horaire, c'est pour ca). Taxi à 3.22 (j'ai pas traîné), maison à 4h et des patates, tête sur l'oreiller à 4.28 et 4.30: début du concert de la fraterie des muezzins du quartier, qui me rappellement qu'il est méga tard (ou super tôt ca dépend du contexte), et difficile endormissement vers les 5h. Prévision accomplie, j'arrive effectivement lundi matin avec les yeux collés et l'expression faciale d'un toxicomane en phase terminale. Résultat: journée planquée derrière l'ordi avec un air intelligent (du moins concentré) à chaque passage des chefs-supérieurs hiérarchiques qui ont été djeunz aussi. Voilà, pour résumer un week-end détente. Sinon, hier j'ai joué comme un français à Roland Garros et j'ai perdu au tennis contre Sergio (6-3). Revanche lundi le temps de demander la nationalité suisse.